Nicorandil : désormais en seconde intention

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Nicorandil : désormais en seconde intention

Publié le 15 décembre 2015 | modifié le 22 juin 2025
Par Yolande Gauthier
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La réévaluation européenne du rapport bénéficie/risque du nicorandil (Advancor, Ikorel) conduit à modifier son AMM.

Cet antiangoreux est désormais indiqué uniquement en seconde intention, chez les patients insuffisamment contrôlés ou qui présentent une contre-indication ou une intolérance aux traitements anti-angineux de première intention (bêtabloquants, antagonistes calciques).

Le nicorandil peut causer de graves ulcérations de la peau, des muqueuses et de l’oeil susceptibles de persister si le traitement est poursuivi, rappelle l’ANSM. Le traitement devra être arrêté si de tels symptômes surviennent.

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