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Encore des progrès à faire
Obligatoire en principe depuis le 1er janvier 2015, la prescription en DCI est loin d’être entrée dans les habitudes des médecins. Pour preuve, l’enquête menée par Que Choisir dans son numéro de janvier, portant sur 815 ordonnances. Seules 18 % d’entre elles étaient rédigées exclusivement en DCI, 57 % n’en comportant aucune. Sur les 2 729 lignes de médicaments étudiées, 73 % indiquaient le nom de marque seul. Une situation que l’association de laboratoires de génériques Gemme déplore, citant en exemple d’autres pays européens : le taux de prescription en DCI dépasse les 80 % en Grande-Bretagne et les 35 % en Allemagne… Que Choisir souligne que les spécialistes sont bien plus réfractaires que les généralistes. Le mensuel appelle à mettre en place des contrôles permettant « d’identifier les médecins récalcitrants ».
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