Marques ombrelles : les pharmaciens moins réceptifs que les patients
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Publié le 17 septembre 2016
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« La différence entre un patient et un pharmacien, c’est la connaissance, d’où la nécessité de court-circuiter le professionnel.
Je remarque une nouvelle offensive de la grande surface, sous forme insidieuse, (…) qui s’interroge sur la possibilité de donner un droit de refus de vente : message subliminal, vite la vente en grande surface (…). »
« JE N’EN VEUX PAS DANS MON OFFICINE, c’est simple, c’est court, c’est facile… et je me fous des laboratoires et du marketing d’agences à deux balles. »
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