PharmaPocket se déploie
Conçue pour détecter les ingrédients dangereux des cosmétiques et conseiller les formules les plus vertueuses, l’appli PharmaPocket (lire PHM#158) fait son chemin. « Environ quatre-vingts titulaires l’ont adoptée en France et en Belgique. », selon son cofondateur Hugo Berrebi. Via une interface, ces officinaux peuvent décocher le nom des marques qu’ils ne référencent pas et poursuivrent leur tri par gamme et même produit par produit. Ainsi, les clients qui sélectionnent leur officine sur l’appli se voient prodiguer des conseils uniquement parmi les références de « leur » officine. Trois services sont alors fournis : l’analyse des ingrédients d’un produit dont on scanne le code-barres ; un conseil rapide selon le type de produit recherché et le niveau de qualité de ses ingrédients ; et enfin, un conseil personnalisé établit suite à un questionnaire au patient. Hugo Berrebi regrette toutefois de ne pas avoir trouvé d’accord avec les éditeurs de logiciels d’officine (LGO) pour synchroniser le système et les stocks des pharmacies. Aujourd’hui, le service est gratuit. Un modèle économique fondé sur la publicité est actuellement testé auprès des laboratoires.
- Pharma espagnole : 9 milliards d’investissements et une réforme en vue
- Réforme de la facture électronique, mode d’emploi
- Mon espace santé : un guide pour maîtriser l’accès et la consultation
- Fraude à la e-CPS : l’alerte discrète mais ferme de l’Agence du numérique en santé
- Pharmacie de Trémuson : une officine bretonne pionnière en RSE et qualité
- Comptoir officinal : optimiser l’espace sans sacrifier la relation patient
- Reishi, shiitaké, maitaké : la poussée des champignons médicinaux
- Budget de la sécu 2026 : quelles mesures concernent les pharmaciens ?
- Cancers féminins : des voies de traitements prometteuses
- Vitamine A Blache 15 000 UI/g : un remplaçant pour Vitamine A Dulcis
