Le VHC persiste et signe

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Publié le 23 mars 2019
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Les antiviraux à action directe permettent d‘éliminer le virus de l’hépatite C dans plus de 90 % des cas. Mais pas d’éviter les modifications causées par ledit virus sur l’expression des gènes des cellules hépatiques, conduisant à un risque rémanent de carcinome hépatocellulaire (CHC). Ce risque augmente tout particulièrement en cas de fibrose du foie avancée et d’infection prolongée avec traitement tardif. Le ciblage de ces modifications dites épigénétiques « constitue une piste pour détecter plus tôt les risques de CHC chez les patients dont l’infection est prise en charge », conclut une étude publiée dans Gastroenterology.

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