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Surveiller ses arrières sur le Net
L’Ordre a semble-t-il revu sa copie sur la vente en ligne. Il est temps de se rendre compte du mal que cela fait. De manière générale, on connaît déjà les dégâts que peut entraîner ce type de commerce via la célèbre plateforme amér icaine Amazon. Si cela devait s’étendre aux médicaments, ce serait un drame ! Les patients ont plus que jamais besoin de proximité. On a déjà travaillé pour éviter que notre profession et l’officine ne soient conquises par la grande distribution, ce n’est pas pour l’ouvrir à d’autres groupes, encore plus dangereux. Un jour, tout le monde dira qu’il ne savait pas, tout en se rendant de plus en plus dépendant de ces plateformes d’e-commerce. C’est désolant !
Guillaume, préparateur à Lorient (56)
Porphyre répond
Oui. Les gens achètent sur Internet, ne nous voilons pas la face. Ils le feront sur des sites étrangers si nous ne facilitons pas la vente de médicaments conseil et de para sur des sites d’officines françaises. Alors, que faire ? Tout refuser ou s’organiser pour verrouiller la vente sur Internet aux seuls officinaux ?
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