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E-commerce et commerce : pourquoi les Français ne veulent pas choisir [ Vidéo]
Avec 32,5 Mds d’euros de dépenses sur internet au cours des trois premiers mois de l’année 2022, l’e-commerce, en hausse de + 11,8 % par rapport au 1er trimestre 2021, est-il l’avenir du commerce en pharmacie ?
Avec la crise du Covid-19, les stratégies omnicanales se sont accélérées et cela a laissé des traces dans les habitudes de consommation. « Aujourd’hui, on a 42 millions de Français qui achètent sur internet. Donc, la pharmacie ne doit pas être en marge d’internet », estime Marc Lolivier, délégué général de la fédération du e-commerce et de la vente à distance (Fevad). Pour lui, internet peut faciliter la vie des patients. La pharmacie doit adapter les services déjà développés en retail, comme le click&collect, la livraison à domicile, le drive… En se positionnant au service du magasin, ces services digitaux améliorent le parcours du patient et, in situ, génèrent un chiffre d’affaires additionnel. Quant à la vente en ligne, « le médicament n’est pas un produit comme un autre ce qui justifie une réglementation ! A voir avec les professionnels, si la réglementation doit évoluer ! », conclut Marc Lolivier.
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