Porphyre, vous m’entendez ?

Je suis toujours touchée par les messages que certains d’entre vous m’envoient. Ce ne sont certainement que quelques cas, ce qui laisse supposer que la plupart des préparateurs et préparatrices travaillent en harmonie avec leurs titulaires, mais à chaque fois ces situations sont déplorables. La semaine dernière, l’e-mail rédigé en commun par une préparatrice et une adjointe dépeignait des conditions de travail difficiles et le comportement irrespectueux de leur titulaire. D’autres fois, quelques-uns d’entre vous témoignent de l’impossibilité, et parfois de la peur, de faire reconnaître leur bon droit, progressions de coefficient non respectées, etc.

Nous essayons toujours d’apporter des réponses. Quand nous le pouvons et que la situation se dénoue, nous partageons votre soulagement. Pour les autres, le manque de considération du travail accompli nous reste en travers de la gorge.

Le premier conseil est d’essayer d’en parler avec l’employeur. Quand cela est impossible, nous vous invitons toujours à ne pas rester seul. Dans ces temps difficiles, les syndicats ont sans doute un rôle à jouer…

Vous pouvez compter sur notre écoute et notre soutien.

En attendant, portez-vous bien !