« Le Moniteur » vous propose un nouveau rendez-vous économique mensuel consacré aux spécialités les plus chères.
En 2008, les ventes de médicaments dont le PFHT est supérieur à 150 Euro(s), en particulier ceux sortis de la réserve hospitalière, représentaient 3,89 % de la marge des officines sur le remboursable et 11,58 % du CA à TVA 2,1 %. Si elle prend du poids au fil des ans (+ 0,50 point en un an en contribution du CA), sa part reste logiquement infime en termes d’unités vendues (0,20 %). Si le taux de marge des « médicaments chers » n’est que de 6 %, la marge, elle, augmente en valeur relative (+ 0,1 à + 0,2 point par rapport à la marge totale retirée du vigneté). Le ratio nombre d’unités de spécialités chères vendues/nombre d’unités totales vendues en 2,1 % est stable, ce qui signifie que le prix d’un médicament soumis à la troisième tranche de la MDL augmente plus vite que celui d’un médicament remboursable standard.
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