Tweeter n’est pas une cause

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Publié le 27 mai 2016
Par Fabienne Rizos-Vignal
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Ultra-connecté à son smartphone, un salarié avait envoyé plus de 1 000 tweets personnels sur son temps de travail. Ce gazouillage n’a pas été du goût de son employeur, qui l’a licencié. Le litige porté devant les tribunaux, les juges ont estimé que ce comportement n’était pas fautif car les tweets représentaient en réalité moins de cinq minutes par jour de travail. L’impact sur la productivité du salarié était donc mineur. La morale de l’histoire, « pas de quoi en faire tout un fromage » !

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