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Le 3 juillet 2023, les partenaires sociaux, représentants des employeurs et les salariés ont trouvé un accord sur l’augmentation de la valeur du point. Mais, à ce jour, contrairement aux accords précédents, seules les pharmacies dont le ou la titulaire est adhérent(e) de la Fédération des syndicats pharmaceutiques de France (FSPF) ou de l’Union des syndicats de pharmaciens d’officine (USPO) doivent l’appliquer. L’augmentation ne s’étendra à l’ensemble des pharmacies qu’à compter de la publication de l’accord au Journal officiel, dont la date n’est pas encore connue.

Le décret du 8 août 2023 paru au Journal officiel le 9 août autorise les pharmaciens à prescrire et à administrer des vaccins inscrits dans le calendrier vaccinal pour les adultes et les enfants âgés d’au moins 11 ans. Cette activité peut être exercée, sous réserve de formation, depuis le 10 août à condition que chaque pharmacien la déclare auprès de son conseil de l’Ordre. Le formulaire à remplir est accessible sur le site internet ordre.pharmacien.fr.

Le décret du 8 août 2023 publié au Journal officiel du 9 prévoit que chaque pharmacien doit déclarer son activité de prescription ou d’administration des vaccins auprès du Conseil de l’Ordre compétent. Hélène doit donc faire cette démarche et renvoyer le document à l’adresse suivante : vaccination-ccd@ordre.pharmacien.fr.

Depuis le 18 juillet, les préparateurs peuvent demander et obtenir une e-carte de professionnel de santé (e-CPS). Elle permettra notamment, lors de la généralisation des logiciels référencés Ségur, d’authentifier l’accès aux données du patient. La démarche doit être faite en ligne sur le site validation-enreg.esante.gouv.fr. La demande est à valider par l’employeur qui doit être vigilant car aucune notification pour le prévenir ne lui est adressée. Dans le cas d’Inès, il n’y a donc a priori pas de bug. L’employeur d’Inès doit valider l’inscription en allant sur son compte Pro Santé Connect.

L’article 25 de la convention collective dispose que les périodes de congé maternité, paternité ou d’adoption sont assimilées à du temps de travail effectif. La salariée acquiert donc des congés payés comme si elle était au comptoir.