Les objets connectés, un nouveau marché en pharmacie

Publié le 24 janvier 2014 | modifié le 26 juillet 2025
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Ce n’est plus une fiction mais bien la réalité : les objets communiquent. Pas seulement les téléphones portables ou les ordinateurs, mais bien tous les objets du quotidien qui, connectés, permettent à son usager de pratiquer ce qu’aux
Etats-Unis on nomme le « quantified-self » (la mesure de données personnelles, leur analyse, puis leur partage via téléphones portables, tablettes, ordinateurs, ou autres plateformes). Grâce à eux, un grand nombre de mesures médicales comme celle de la tension ou du poids – et bientôt du cholestérol — peuvent désormais être prises chez soi et partagées avec une ou plusieurs personnes de son choix. A en croire un sondage Ifop de décembre 2013 en partenariat avec l’Atelier BNP Paribas, 11 % des Français (5 millions) possèdent au moins un objet connecté. Et l’institut de sondage d’avancer que 12 % des Français n’en possédant pas envisagent d’en acheter un dans les trois prochaines années, doublant ainsi le marché. Et les personnes âgées ne sont pas en reste indique l’étude : elles sont 86 % à posséder ces outils de mesure. Au rang des pionniers, la balance Withings connectée en wifi à internet. Depuis une foule d’autres objets sont apparus dans le domaine de la santé : le bracelet fitness traqueur d’activité, la ceinture pour prévenir les risques de lésions vertébrales, la fourchette digitale qui sonne lorsqu’on mange trop vite, la
brosse à dents qui optimise et guide le brossage, les chaussettes faisant fonction de podomètre…

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À lire dans Pharmacien Manager n°134 de Février 2014

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