Pas touche à l’IVG !

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Publié le 2 mai 2017
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Pressions psychologiques, morales ou physiques, menaces ou intimidation, tout ce qui peut empêcher d’informer ou de pratiquer une interruption volontaire de grossesse sera désormais passible de 30 000 € d’amende et de deux ans d’emprisonnement(1). Ce délit d’entrave vise également les fausses informations en ligne qui cherchent « à induire intentionnellement en erreur, dans un but dissuasif, sur les caractéristiques ou les conséquences médicales » d’une IVG.

(1) Journal officiel du 20 mars 2017.

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