Gel vaginal dans les lésions précancéreuses de bas grade dues au HPV

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Publié le 7 avril 2017
Par Anne-Hélène Collin
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Ce gel vaginal semble prévenir le risque d’intégration du papillomavirus humain (HPV) au sein de la muqueuse utérine. Il est composé d’acide hyaluronique hydratant, de ß-glucane antioxydant, de Centella asiatica cicatrisante, de Bioecolia, prébiotique qui stimule et conserve l’équilibre de la flore vaginale, d’aloe vera antiseptique et favorisant l’épithélisation. Le neem, originaire d’Inde, et Coriolus versicolor, champignon chinois, ont montré cliniquement une action sur les lésions vaginales dues au HPV. Papilocare est proposé après avis médical pour contrôler et réépithéliser la zone de transformation du col de l’utérus, prévenir le risque de lésions utérines de bas grade provoquées par le HPV, traiter la sécheresse cervico-vaginale ou encore rééquilibrer le microbiote vaginal.

Mode d’emploi : vider une canule dans le vagin, de préférence au coucher. Le premier mois, commencer le premier jour d’arrêt des règles et poursuivre pendant 21 jours. Du deuxième au sixième mois inclus, administrer le gel un jour sur deux entre les menstruations. 

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