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Gaffe aux Naco
La mise en place d’un traitement anticoagulant, AVK ou nouveaux anticoagulants oraux dits Naco (Eliquis, Pradaxa, Xarelto), doit se conformer aux indications, doses et précautions d’emploi spécifiques, a rappelé l’Agence nationale de sécurité des médicaments et des produits de santé (ANSM) le 20 septembre. Et son arrêt doit se faire avec avis médical. Ce rappel survient après que le Syndicat des jeunes biologistes médicaux (SBJM) a écrit à la ministre de la Santé le 17 septembre pour se plaindre des nombreux écueils des Naco, « rendant la potion plus amère dans la réalité qu’elle ne semblait l’être dans les discours publicitaires ». Absence d’antidotes, demande d’INR ou de TP même sous Naco, hémorragies…, le syndicat demande des solutions pour mieux encadrer les prescriptions.
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